dimanche 7 décembre 2008

Sylvie, le 26 novembre 2008


A l’heure où la terre sonne
J’allume un feu de bois
Car le glas qui résonne
Me casse un peu la voix
Que j’ai froid !

Suppose que tu t’appelles Mamy, et que sortie des eaux dormantes, et de tes rêves bleus, tu restes dans ta salle à manger, les rideaux tirés contemplant la terre éphémère. Signe c’est sûr que la maladie d’amour te ronge, toi et ton cœur palpitant, et y entraîne ton doux corps blessé. Peut-être une bonne tasse de thé mêlée d’eau de vie saura noyer les tourments que seuls les fistons de dix-huit ans engendrent. Quelle belle infamie !

Sans titre 3
Même si on envoyait des pépites en orbite (peut-être que c’est possible après tout !!!) et qu’il en tombait assez pour qu’on aille vivre à l’Ouest un art de vivre nouveau. Oui, vous savez le genre de vie où l’on offre une forte récompense à ceux qui croient que le bonheur est dans le modèle américain. Moi je dis que c’est de plus en plus fou, ce genre de promotions. Je préfère vivre à la mer, à travers les parcs d’huitre et si possible étendue sur les plages en attendant le sable chaud. Et peut-être que sais-je, pourquoi pas à l’orchestre ou jouera la folle.

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