dimanche 7 décembre 2008

Jôh, le 4 décembre 2008

Cette semaine, comme toutes les semaines depuis quelques décennies,…
Je me pose la question suivante : je suis désespérés ou désespérante ?

Il n’y a que toi pour me rendre vivante. Tous les deux réunis nous sommes les esprits légers libérés et libres de voyager, pour ne juger ni même condamner, les erreurs ou les errances des hommes. Sur les apparences ? Quelles apparences ? Nous sommes libres de nous rencontrer. Le vrai mystère réside dans ce qui s’impose à nous et dans nos différences. Du monde ? Nous ne savons rien et que nous importe ? Que perdure notre jeunesse. Hais le visible ! Car il te nuit et te paralyse au risque de t’attacher à une laisse. Et non ! Ton chemin ne sera pas doux ni même paisible, mais l’invisible l’accompagnera comme un ange dans le creux de ton oreille.
Oscar Wilde est un sauvage et de mes mots se réveille. Il n’est pas en accord avec moi. Que voulez-vous ? Ce vieux débris, de vieillir n’en finissait pas !

« il n’y a que les esprits légers pour ne pas juger sur les apparences. Le vrai mystère du monde est le visible et non l’invisible. » Oscar Wilde.

Cette petite bonne femme face à la pizza, hésite entre deux parts pais elle n’a pas le choix. Restent devant elle, deux parts aux anchois. Trop de sel dans son plat revient à trop d’eau dans son vin. Heureusement son ventre est déjà plein ! Mais son imagination et sa tête sont vides, putain !
Résident quelques mots qui se digèrent sans faim.
Une garbure contre la dictature ? Non, une garbure contre cette torture !
C’est ainsi que je pose le mot fin.

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