lundi 1 décembre 2008

Pô, le 17 septembre 2008

Quand il fait beau
Moi je reste crado.
Pas de lavabo, tout juste un jet d’eau !
Peut être un stylo pour laver des mots,
Splash !


Appel du 4 octobre

Un – si des fois tu viens
Deux – réponds à mon vœux
Trois – des piquets tous droits
Douze – c’est pas pour du flouze.
Vingt – c’est pour un coup de main
Trente trois – ça se passe chez moi
Quarante cinq – week-end du quatre et cinq
Soixante six – y’aura du pastis
Quatre vingt neuf – de l’œuf ou du bœuf.

Le périple jaune

Quelle insolence que de ne pas partir en vacances durant l’été approprié. C’est pourquoi à la vérité, c’est à la rentrée que je m’en allais, posant mon séant dans mon vieux roulant. Me voilà partie, direction chez Béa, le single de Trémolat. J’égalisais les portières, équilibrais les rétros de mon pauvre tacot. Passé Pellegrue c’est déjà l’aventure. Passé Santa Fé la grande c’est carrément exotique, contourner Bergerac me perdant déjà. Quelle direction, je regarde le ciel, pas d’étoile, mais pas le temps de faire de la moisissure, y en a déjà plein la voiture. Heureusement, la fumure me rend insomniaque. Il est où ce cingle, à la Saint Glinglin, si ça continue je deviens cinglée ou verte. Pourvu que je ne sois pas en retard pour la partie de scrabble beloté. Allez une dernière pause avant d’arriver, le temps d’une fumure cinglante au bord de cette eau-là.

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