dimanche 7 décembre 2008

Mi, le 26 novembre 2008

Suppose que tu t’appelles Zéphyr. Qu’est-ce qu’un deux, un rien qui bouge. On ne peut le nier, le néant qu’on peut entendre siffler dans les ruines. Je change de rythme, n’ayant qu’un six pour m’enfuir comme un Zéphyr.

Aucun commentaire: