lundi 1 décembre 2008

Linlin, le 1 octobre 2008

Je ne suis pas comme ce Taupin d’Ambourg
Vert de rage d’avoir perdu ses « ouilles » !
Je vois ma vie en bleu et parfois lorsque Violette m’apporte le café
Accompagné d’une orange, je me dis que la vie est si merveilleuse et
Les gens si qu’Alain je m’appelle. Je me sens si Voltaire, si beau de l’aire et dedans devant, si vivant !

Une semaine un pneu…
Je suis un pneu crevé
Et l’autre est lisse à souhait
Il faut encore payer
Fais chier !

Plus tard ce sera mieux

J’aimerais tout savoir de la chimie du corps humain. Je ne suis ni pour ni contre le débat d’idées, plutôt pour même et on peut chercher la petite bête moi je préfère la grosse. Aussi, voir ce corps se promener à travers les parcs, dans l’espace ou les océans, je veux le connaître même si l’herbe est toujours plus verte ailleurs, je suis certain que la mienne sera bonne l’an prochain.
Avant on travaillait, mais aujourd’hui pas de contrainte. L’oisif est heureux comme trois Papes, mais son corps, qu’en est-il ?
En effet ne rien faire peut défaire, mais bien le faire (ne rien faire) peut refaire.
Bien faire c’est avant tout s’équiper d’un chauffe-eau solaire, d’un puis canadien, de toilettes sèches etc…
De cette façon l’oisif peut se reposer, la conscience tranquille. Finie la guerre des mémoires, on ne se souvient plus, on a oublié.
Le monde est parfait, on fait plus rien, plus de soucis, ni de crimes. Il dort, il mange, il contemple, l’oisif.
Les idées nouvelles fusent, elles sont spatiales pour la conquête de notre tranquillité, de notre sérénité.
Demain plus besoin de faire le taupin au coin de la rue.

Aucun commentaire: