lundi 1 décembre 2008

Lolu, le 15 octobre 2008

La sympathie offre ses aises
A l’ami vierge de scrupule
Qui trop à force de fadaises
M’endormit d’un doigt dans le cul

Votre viande m’est chère au cœur
Votre bien-être ne me pèse
Mon trognon m’est plus cher encor
Aussi je vous reprends la chaise

Oyé oyé les bons copains
Ça c’est sûr je vous aime bien
Faudrait pas m’en user les trous

Si au café j’offre le joint
Faudrait pas m’en forer l’tintouin
Ou j’t’envois ma vitrine dans l’mou !

Je me souviens
quand Jeanne d’Arc s’est coincé le doigt dans le grille-pain. Elle était bien inspirée par ce maudit aspirateur vierge qui lui enduisait la tartine. Moi je brûlais d’envie de lui faire le p’tit dèj’ en ce matin mystique, mais la guerrière m’a grillée pour une frotte à l’ail dans le sac de poussière.
Moralité : si t’emballe la Jeanne, planque l’aspi.

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