lundi 1 décembre 2008

Pô, le 2 juillet 2008

De hauts en bas, de bas en hauts
De ci de là, peut-être un rot
Allez, bonnes glacances !

Le passage en passoire

Hier soir au parloir, je me suis laissé choir dans mon bavoir guturosalivaire. Mes paroles fusaient comme d’un arrosoir sans craindre l’assommoir. Tout ça dans l’espoir de faire vivre l’histoire car le reposoir, c’est tellement notoire, et le saloir c’est trop couard, comme la pétoire. Alors je prend la vie à pleines battoires, même s’il faut passer au lavoir, je cherche la victoire.

(sur l’air de l’auvergnat)
J’ai le solstice dans la valise
L’potimarron mangea Louison
Le parallèle est dans l’espace
Cendrier vorace.

Pour la fin du monde, prends ta valise et vient Louison voir le solstice de printemps. Fini le champagne viens dans l’espace mais vide le cendrier maintenant.

Pourquoi tu crois que tu me quitt’ras. Si t’y réfléchis, on est quittes. On peut même rire de ces choses-là et puis j’m’en va.

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