lundi 1 décembre 2008

Linlin, le 17 septembre 2008

Elles sont finies les grandes vacances
Vive l’éducation c’est une chance
Vive la rentrée c’est les congés.
(faux bien entendu !)
Mais c’est une des rares fois où bosser est agréable.


Un – j’ai senti son parfum.
Deux – j’ai fui marchant sur des œufs.
Trois – je me sentais à l’étroit.
Douze – j’étais dans les bras d’une barbouze.

Retour en zone jeune

Le gamin me regardait avec insolence pourtant je devinais qu’il savait la vérité et finirait par avouer séant. Mais il me tenait tête du haut de ses dix ans comme s’il voulait égaliser un rapport dans lequel il était évidement perdant.
Cependant je commençais à avoir des doutes : alors que mon ciel s’assombrissait, le gamin semblait de plus en plus sûr de lui. Je me sentais vieux et des moisissures envahissaient les murs de mes certitudes au point d’en faire des fumures qui alimentaient encore plus mes doutes. J’aurais pu en devenir insomniaque si le vrai coupable ne s’était pas présenté. La blague était encore verte, comme un premier mot au scrabble qui vous laisse coi. Allais-je me réveiller ? J’étais un enfant de dix ans, j’engueulais mon professeur qui faisait une pose durant le cours, alors que je planchais sur mon exo. Quand, plus de temps, plus d’espace et le réveil ! Je retourne à l’école.

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