lundi 1 décembre 2008

Ben, le 15 octobre 2008

Je me souviens
bien, c’était l’été dernier. L’écriture m’était fertile, le sable sur lequel j’étais allongé m’avait ouvert les portes des livres. Mais d’un coup, pof, je me prends une claque monumentale ; je me relis et je ne vois qu’un tas de fioritures immondes. Comment ai-je pu écrire ceci ? Je devais vraiment avoir la tête en neige. Dans ces moments je crois que j’aurais préféré être en voyage plutôt que de moisir le cul par terre sur ce sable trempé. J’ai la dépression qui me guette, vite y faut que je bouffe une pizza.
Finalement, je crois que l’écriture n’est vraiment pas de la tarte. Tatin !

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