lundi 1 décembre 2008

Lolu, le 2 juillet 2008

Je replu par ce beau temps
Météo ébats d’printemps
Maldanlpeautesque ? Oh non.

Eh conouard !
Parloir-moi pas d’choir, depuis mon bavoir, c’est notoire, j’encaisse les arrosoirs du soir dans tous les assommoirs. Laisse-moi d’l’espoir dans mon histoire. Va t’reposoir. Moi, couard ? J’t’en ficherai mes battoires dans l’saloir. Ah enfin parti c’merdophage ! J’enfourche mon pétoire vers le lavoir, crier victoire aux libellules.

Tu quittes moi, moi pas rire, point.

Leur folie parallèles
A Rodrigue et à elle
Louison Potimarron
Elevée en Champagne
A vidé ma valise
Des rancœurs éternelles
Et rempli mon espace
De solstices lumineux.

A Rodrigue et Louison
Je demeure redevable
D’une exquise chanson
Qui remue ma tripaille

Quant à Louison la belle
Cette exquise souris
M’a-t-elle fait un clin d’œil
Encore c’t’après midi
Mon cœur est-il à elle
Vous ne le saurait pas
Je boirais la beauté
De son âme en tous cas.

Chanson de Louison Potimaron :
« La Terre sonne du pas des hommes qui se parlent
Et la Terre tremble du chant des hommes qui résonne
La Terre sonne du pas des hommes qui se cherche
Et la Terre chante du cœur des hommes qui se touchent.»

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