samedi 13 décembre 2008

Pat'ça, le 10 décembre 2008

Tracattitudes en décade, pas de problème des solutions !
Toute halée, exaltée, que de me remuer les rognons.
Bing ! Whou ! Clang ! Hihi ! Bleu.

Elle-même ment tellement, de temps en temps.

Aux commencements, dans les temps d’avant de maintenant, elle ment, tout doucement, en lenteur, comme si elle voulait, sa bonimente, avoir le temps de se diluer à travers les parcs, les parcs où errent les damnés, damnées, sacré nom de dieu damné, damassé.
Ha, l’on peut dire que je m’égare ou que ma cervelopipède, charnue et néanmoins vitreuse, se libère dans le corral des rodéos. Et j’avoue que je prends plaisir à cette balade sereine et revigorante, comme les champagnes de vignerons, ronds et rougeots. Et au cas ou vous vous poseriez la question, je mentionne souvent la même âme aimée même si l’âme meut de temps en temps.


« Comme la liane est à Tarzan, fidèle à toi doit être l’amant ».
Figurez-vous que je dois la connaissance de ce dicton et son histoire grâce à un loir qui farfouissait dans la cave. Je descendis vers les abysses. Derrière un tas de fatras, je trouve un cahier d’écolier, tâché de cambouis, un cours de classe du 10 décembre 1927. c’était, disait la dictée, la phrase favorite des amazones à gueule noire, vêtues de moire. Peuplade amoureuse, possessive et libre ; ses maisons caracolaient dans les arbres couleur d’ébène. Cela se passait dans le fameux pays où il pousse des pieds de nez voir de geai.

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