lundi 1 décembre 2008

Patrici, le 17 septembre 2008

J’ai ramoné ma cheminée
Et j’avais du noir plein le nez.
Attention, attention, c’est dégueulasse !


Un – c’est bien le bonheur de chacun
Deux – pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux
Trois – ceux qui se prennent pas pour des rois
Douze – que de lâcher une perlouze.
Comptine bruyante et odoriférante.

Le jeune qui rit jaune

C’est ça, l’insolence de la jeunesse, dire des choses, des vérités, mais pas toujours. En s’asseyant sur son séant, on voit la vie du bon côté. Même si celui-ci sert à rien. On s’en sert pas pour égaliser les chances. Même s’il n’y a pas de perdant dans l’histoire. Il faut pas regarder le ciel pour pouvoir voir les moisissures, les vers de terre dans la fumure. C’est interdit aux insomniaques, aux scrofuleux, aux pyromanes. Il faudra franchir la porte verte pour pouvoir participer au jeu. Au grand scrabble de la destinée, on y fait pas toujours compte-tripple, mais à chaque coup on paye. Grande incertitude de la vie.

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