lundi 1 décembre 2008

Linlin, le 12 novembre 2008

Le lâche lache sa hache
Et sur le champ de bourache
Est l’ache qui cherche sa plache
Sur l’arche du plancher des vaches



Partant du nombril, j’élargis mon horizon vers le tronc, dévissant mes viscères, recherchant ma douleur. C’est comme la pauvre Yvonne qui vécu un calvaire. Cette ancienne matrone opérée d’un histère suite à une erreur de datation carbone. J’ai mal à l’éphémère depuis bien des années mais que dieu me savonne, ça reste mon affaire.


Jusqu’à l’os.

Qui travaille trop ne fait pas de vieux os…
Quand on sait que l’os à moelle ou l’os à ture, c’est pas gagné. Certains écrivant un book racontant leurs misères au boulot dans leur quotidien.
Imagine un os émigré.
Il aura beau rencontrer son moi, il ne retrouvera jamais sa place dans un autre bonhomme. Tu t’imagines avec trois tibias ? Deux crânes ou trois mains ?!
Non bien sûr. La solution serait de rencontrer ailleurs, un os manquant. Alors tu te balades, sur le boulevard. Os Man ou à l’os en gelés et tu cherches de l’os seille.
En attendant près du chauffage, tu attends de te calcifier avant de trouver ta place. Il serait bon qu’enfin tu prennes ton pied sans pour autant devenir un os e laid.

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