samedi 28 février 2009

Ecofestival de Pellegrue: samedi 18 avril 2009


l'art est union du 18 février vers l'Ecofestival de Pellegrue


A fond vers l'Ecofestival de Pellegrue....
...les équipes poubelle, signalétique, resto zef et plasticien carburent vers un rêve de terre...
la soupe aux poix cassés de Suzanne est toujours aussi bonne
et les guitares de Ben, Jiji et Benoit ont réveillé nos voix dans la nuit noire.
Atelier Zef : 05 56 61 24 01
Côté scène...
...Les artistes sont de plus en plus nombreux à nous rejoindre,
et le curé de Sainte Foy la Grande nous met à disposition l'église et son orgue à tuyaux...
Côté catring...
...Jean-Louis est à nouveau partant pour nous préparer son ragoût et
Yolande, merveilleuse Yolande, son sauté de veau ou de porc et ses patés maison.
Quand à Manu, il met ses talents de masseur au service des bénévoles et des artistes...
Côté exposant...
La première vingtaine de bulletins d'inscription retournésa été rapidement dépassée,
avec son lot carrément émouvant de messages d'encouragement vraiment sympa...
Côté "j'ai des choses à dire"...
Préparez vos coups de gueules et coups de coeur
pour l'assemblée populaire du soir
"vers un rêve de terre: c'est quand qu'on va où?"
animé par notre cher François PLASSART...
Côté rêve....de terre
Vous pouvez dès maintenant remplir de vos voeux la vigilance
de l'atelier Zef qui sera remise au maire et conseiller général
José Bluteau
(coup de chapeau à ce grand homme qui nous suit toujours à fond)
ce samedi 18 avril 2009

"Ensemble pour la Saint Parfait, on f'ra les choses bien"

La bonne crevure du 11 février 2009

Libre est notre esprit si le rire de la souris verte,
Qui courrait dans l’herbe,
Je l’attrape par la force des choses.
C’est vrai que ce n’est pas facile puisque
Tu pouffes de rire quand ta touffe s’étire.
Je me tire, je sais que j’expire, il est urgent que je respire le patchouli
Qui gazouille des gazouillis, ah oui, gazouille et je jouis à genoux.
Va, et laisse derrière toi ce qui ne va pas justement.
Donc, alors, comme de par hasard, et approximativement,
Pourtant j’aime bien une certaine précision horlogère.
Réglée comme un métronome, tu ronronnes, tu ronfles et tu me gonfles mais,
Je t’aime.
Enfin si je dis que je t’aime, c’est pour dire qu’une femme, nue, parfumée, qui court dans toute notre touffe de cheveux et puis de toutes les touffes aussi…
Et si t’étouffe, tu pouffes ! Non tu crie plutôt. Ce qui n’a absolument rien à voir avec le maire de Pellegrue.
Quoi ? Pellegrin ! Ha non, Pellegrue !

Tigui, le 11 février 2009

J’entends Miren qui s’amène
A la bonne heure, vraiment, amen
Toi, c’est la fête du vent !

Je ne remercierai jamais assez le grand Maulne de m’avoir convaincu dès mon plus jeune âge de l’utilité du tire-couette électronique. Il m’a permis très tôt de m’affirmer en tant qu’homme et malgré ma petite taille dans les cours de récré qui pullulaient de filles.
Aujourd’hui j’en ai choisi une, fille, et dans les premiers temps j’en ai beaucoup souffert. A présent au coucher je branche mon tire-couette et peut passer au chaud tout le temps de la nuit en sentant bon la femme quand même.
C’est pour ça monsieur l’inspecteur que j’arpente les cours d’école le manteau large ouvert. Pour que chacun profite des bienfaits d’la présence des filles, à la mesure de mes tire-couettes, que je vends carrément pas cher, sans blague !

Eclat de rire du bide au nez.

Faut pas pousser la larme dans les orties, ça gratte !

Rires à Venise, larmes à Paris.

Zygomatiques élastiques fendent la gueule.

Se tordre devant le poêle et se poiler à tors et à travers.

Tricote-moi les quenottes, déride-moi la cracotte.

C’est marrant, je rigole, mais ne te crois pas drôle.

On s’est boyauté la gousse, exhalaison d’aïl.

Que de rigoles quand tu pisses de rire.

Fou rire au ras du fût.

Pô, le 11 février 2009

Vie de tempête à courir après le temps
Tout faire vite synchro avec la météo
Et cette belle fille à moitié nue
Qui sent bon dans la maison
Coup de vent avant…

Le tire-couette
Mesdames, messieurs, je viens vous faire la promotion d’un nouveau jeu qui se jouera très exceptionnellement cette année près de chez vous. Et ce nouveau jeu, mesdames et messieurs se jouera précisément à partir du 20 février jusqu’à la fin mars dans la petite commune de Camiran, au lieu dit 4 le bourg Nord. Alors vous me direz : en quoi il consiste ce jeu ?
Et qu’est-ce qu’on gagne ?
Et où c’est qu’on s’inscrit ?
Et bien je vais vous le dire ! La règle du jeu est très simple : il s’agit tout simplement de passer me voir de temps en temps car je me retire sous ma couette !
Quand à y gagner quelque chose, juste prendre le risque de passer un bon moment et de briser pour moi l’ennui de l’immobilité.

Esclaffer l’expiration saccadée et larmes zygomatiques.

Se marrer ou s’amarrer, il faut choisir.

Mordre les poireaux, c’est tordre les boyaux.

Fous rires de gnou
Pourrir du mou
Fous rires à genoux
Mourir au moi d’Août.

Elle se poile à toison.

Comique de situation : Monique a de l’ambition.

Tu pouffes de rire quand ta touffe s’étire.

Le zigue aux pneumatiques
La gigue aux yeux m’astique.

La fée rieuse, la raie fuyeuse.

Ramer pour se marrer.

Le canard se marre et le geai ricane.

Se gondoler dans les maïs
Ramer sur la Baïse
Et c’est la chute à Venise.

La fillette fait risette
Le p’tit drôle rigole
Et la pouf s’estouffe.

Pisser de rire dans la rigole
Plier de fuir dans un violon.

Patrici, le 11 février 2009

Perdu 30 à 19 contre les Irlandais,
Pourtant, le match n’était pas si mauvais
C’est sûrement à cause du vent.

Le tire-couette

Il n’y a pas plus désagréable que de se réveiller frigorifié au milieu d’un nuit d’hiver à cause d’une couette traîtresse qui a glissé en bas du lit.
Pour en finir avec ces désagréments, il existe aujourd’hui un nouveau produit que vous trouverez vite indispensable : voici donc le tire-couette. Pratique, efficace, vous l’installerez dans votre lit et il veillera au confort qui est nécessaire à un sommeil réparateur.
Accessoirement, il pourra aussi préchauffer votre lit si vous l’y installez d’avance.
Le tire-couette s’entretient facilement avec un peu de carburant solide et/ou liquide 3 fois par jour.
Le tire-couette est gratuit et disponible dans toutes les bonnes agences de l’ANPE.

Se fendre la gueule, c’est mourir d’un spasme hilarant.

Cette crise ne me fait pas rire.

J’ai pas peur des sirènes car je ris aux alarmes ;

Comment s’appelle un homme qui rit de rien ? Un zig automatique.

C’est dans la mare que la canne a ri.

En voyant sa bedaine proéminente,
J’ai cru qu’il avait le bide au nez.

Mi, le 11 février 2009

Du vent
Du balai
Du vent

Tirez sur le tire-couette !

Rigoler : pisser de rire

Jiji, le 11 février 2009

Que de semaines passées !
Mais beaucoup plus ! Ta mémoire est fâchée !
Ah, du vent !

Bonjour ! Comme vous le voyez je suis bien, détendue, à l’aise. Sans m’appeler Blaise. Vous voulez devenir comme moi, ou au moins aussi cool ? Vous vous demandez si c’est possible ! Bien sûr que oui. C’est possible, il vous suffit de taper les quelques chiffres de votre carte bleue sur ce numéro spécial, et vous deviendrez alors propriétaire de ce magnifique tire-couette grâce auquel je suis si décontractée, si calme.
Mes nuits, mes siestes, sont d’un repos rassasiant.
Vous aussi devenez calme et serein. Votez tire-couette !

Du comique drôle qui fait rire aux larmes, c’est triste.

Se boyauter c’est beaucoup mieux que déboyauter.

Une crise de spasme vaut mieux qu’une crise d’asthme.

Picoti picota lève la queue et puis casse-toi..

Si t’étouffe la pouffe, tu la tue.

Tricote-moi les quenottes
Tripote-moi les côtes

Je m’hilare totale, j’me boyaute.


A te voir ricaner de la sorte, ça me tue.

Le faux rire est le sale de l’homme.

Tartare à l’ail ou ta tare si male pétrie
Elle s’en fou rire.

Ben, le 11 février 2009

Tous les matins, le même effort. Tous les jours votre réveil est le plus fort. Combien de temps allez-vous continuer à vous torturer votre début de journée ?
Aujourd’hui mercredi 11 février, sonne le glas de vos tourments. Grâce à notre merveilleuse invention : le tire-couette vous ouvrira les portes de repos et de sérénité. Pour savoir, merci de laisser votre chèque et vos coordonnées inachevées.

Saint Hilar est parmi nous.

Ricardne et marre de café.

J’ai touffe et boyaux.

On peut rire d’éclat de vie, se fendre la gueule sur une bouffe de drôle,
Mais n’oublions pas de rire du comique.

Le matin c’est risette
Le midi c’est fou rire
Le soir c’est comique éthylique.

Réjouissons-nous.

Se réjouir, ou mourir de rire, tel est ton sourire.

Se boyauter la nouille fait toujours se dérider Mémé.

La crise se gondole
L’Economie se fend
Faites risette, on va se fendre la gueule.

Pouffer des larmes c’est drôle.

Ils se boyautent une joute
Sont fous de rire
Se marrent en puant.

Alinlin, le 11 février 2009

Je préfère au voisin
Mes soucis quotidiens.
Ils sont bien plus coquins
Même si c’est que du vent !...

Votre compagne ou compagnon lors de ses nuits insensées, tire la couette à elle ou à lui.
Vous passez votre temps à tenter de ramener à vous la douce et chaude chose qui vous permettra de bien dormir, mais sans succès !
L’effort est si intense et l’épreuve si incertaine, car comment agir sans réveiller le prédateur de couette ?
Avec le « tire-couette », plus de soucis !
Celui-ci vous propose une réponse définitive, immédiate avec son mécanisme neutralisant radicalement le prédateur (6800V 2000 Ampères) et ramenant instantanément la couette sur votre corps enfin satisfait.
Le « tire-couette », une solution pour commettre le crime parfait ! Légitime défonce !

Le rire est le propre de ceux qui s’en moquent !

Je pouffe de rire en voyant délirants tous ces gens innocents !

C’est à mourir de rire que de voir tant de larmes et que de manquer d’eau !

J’ai ri au laid !

Sa gaie tare me plait mais de rire j’en pleure !

N’est-ce pas risible ces gens qui se bidonnent et s’esclaffent face à ceux qui ne bouffent plus et qui voudraient bien en mettre, des bouffes, mais qui n’osent pas.

Jiji, pas compris, ça poul’ail et les plumes me chatouillent et me font bailler.

samedi 14 février 2009

Ben, le 4 février 2009

Lorsque je bise mon grain
L’âme ouverte tempête d’entrain
Lorsque je largue un vieux chagrin
L’âme ouverte m’encyclone en son sein.

Quel blizzard ce chacal
Il zef son haleine pestilentielle
Et se bourrasque aussitôt vers son ciel.

Petit Zéphyr de vie
J’aime t’accueillir en mon lit.
Largue-moi tes bourrasques dont je suis épris.

J’ai le grain qui bourrasque
Et la tempête en ma main
Je vais pouvoir souffler mon vent d’émotion.

Homo sapiens bise sa connerie
Et de rien il se fait des bourrasques
Quand va-t-il se bouffer un bon blizzard ?

Coucou ma tempête
Ça bise
Y fait cyclone aujourd’hui

Une petite risée mal formulée
Et un être peut facilement prendre le largue.

Je sais et habite mon chemin.

Gégé, le 4 février 2009

Ça roule mon kiki
Le zef sous la tourmente
C’est reparti…
Entre tempête et calme plat, on y va…
Zip !

Petits soulèvements

Notus et bouche béante, on rentre dans la tourmente. Certains glissements nous hantent mais les vents donnent le mouvement. Largue donc tes tourments et laisse la brise t’emmener au rangement. La risée emmène au grand renfort… tous ces soufflent dans la rencontre ne sont que réconfort.

Notus : vent du Sud de la mythologie grecque.

Les vents il en existe à tous les temps. Ils ont chacun leurs moments. Restons vigilants. Sachons appréhender le bon réflexe au bon instant.
Hou hou hou…

Fais pas le cyclone
Et lâche du grain.

Tempête de joie et bouffée d’air
Reste zef.

Risée de tous et tous un grain.

Bourrasque et bougre bise.

Tant pis tempête
Brise ton grain.

Brise la glace et glace la bise.

Nin nin, le 4 février 2009

Avent zef y a pas grand-chose
Après zef y a rien du tout
Alors au choix zef y rien ou zef y rien du tout

Mais qu’est-ce

Techuantepecer, c’est un des seuls mots sur la liste qui n’avait pas de définition, ni d’origine, ce qui peut laisser notre imagination travailler. C’est un vent puisque on nous l’a dit. Mais est-ce un vent qui fait tourner les ailes des moulins, une flatulence ou un pet, un souffle divin. Techuantepecer, Techuantepecer, analysons ce mot : cela commence comme atchoum et cela finit comme une respiration. Dites Techuantepecer dans une conversation et vous ne serez pas la risée de vos locuteurs. Avec le Techuantepecer une bouffée d’air d’on ne sait où nous vient d’ailleurs.
Ne soyons pas dans le largue avec le Techuantepecer.

Cyclone six clowns
Clown qui pète tout
Clown qui tempête
Mais clown sous risée
Mais pourquoi des clowns
Pourquoi pas six clones
Les clowns ne sont-ils pas des clones ?

Rafale qui dévale
Qui dévalise
Quoi Lise qui s’évade
Vade rétro.

Bourrasque aux basques !

Blizzard, du Var
Varrois qu’on voit
Voit ce qu’on voit.

Tramontane qui crâne
Ane monté, âne bâté
Bas de la montagne.

Les flatulences du cyclone
Donne des bouffées
Au Zéphyr.

Patrici, le 4 février 2009

Ça roule mon kiki
Le zef sous la tourmente
C’est reparti…
Entre tempête et calme plat, on y va…
Zip !

Petits soulèvements

Notus et bouche béante, on rentre dans la tourmente. Certains glissements nous hantent mais les vents donnent le mouvement. Largue donc tes tourments et laisse la brise t’emmener au rangement. La risée emmène au grand renfort… tous ces soufflent dans la rencontre ne sont que réconfort.

Notus : vent du Sud de la mythologie grecque.

Les vents il en existe à tous les temps. Ils ont chacun leurs moments. Restons vigilants. Sachons appréhender le bon réflexe au bon instant.
Hou hou hou…

Fais pas le cyclone
Et lâche du grain.

Tempête de joie et bouffée d’air
Reste zef.

Risée de tous et tous un grain.

Bourrasque et bougre bise.

Tant pis tempête
Brise ton grain.

Brise la glace et glace la bise.

Pô, le 4 février 2009

Les filles c’est chiant, ça parle et ça pleure
Les filles c’est chouette, c’est comme les fleurs
Le temps d’un coup de vent !

Coup de vent

Dans une bourrasque, un soir au Zéphirin, l’alcool aidant, rafales de rasades, le ventriloque en moi m’a dit, vas-y, fonce (mais pas trop sinon on te voit plus dans le noir), ne craints pas la risée, risque toi ! Tout le monde s’est déjà pris un vent ; regard circulaire, devant derrière, et là ! Tonnerre de foutre ! J’y vais, j’enclenche gentiment, prudemment, I’m not superman quand même, mais je brasse assez d’air et l’alizée se transforme en Zéphyr et le tourbillon en cyclone. Tempêtes et vents violents, super tant que ça bouge ! Mais attention à pas rester coincée dans l’œil de l’anticyclone car l’orage gronde souvent les lendemains de fêtes et de tempêtes.

Coup de vent, pas le temps, vent danger
Vite, le temps d’une bouffée
Nouvelle bourrasque, à peine le temps le larguer une brise
Rafale suivante, vite, invite ou évite.

Tu me brise, je te largue

J’en chie, t’en pète,
Essuie un grain

Une tornade dans la limonade
Un cyclone sur le mobil home
Y a un grain sur le Zéphyrin

La fumée t’aliène un vent à perdre haleine.

Foin de grain et bol de risée.

Une bise, un baiser
Une brise, un brasier.

Tigui, le 4 février 2009

J’inspire et ça fuse à tout zef
Rejointe par de nombreux ruisseaux…
Pardi c’est l’Ecofestival !

Enfin vide

De mes amours sororales m’est restée la bise d’un petit grain soufflant l’envol à mon bon sens.
Et de mon inspir qui se rise le petit zef dans son élan à vidé tout joyeusement les canaux serrés de ma tête.
Raison en emporte d’Autan, des passions enfiévrées de ciel vers les joies pures de l’innocent.
Enfin vide.

Bizarre bouffée ce blizzard impétueux,
La baraque toute sans d’ssus dessous par cette gigantesque bise.

Elle me bourrasque
Elle me les brise
Demain j’lui cyclone les varices.

Elle a trop un grain
La louf elle me largue.

Zéphyr donne-moi ton amour.

Sa fesse appelle ma bise franche
Les bouffées de ses vents
Me rappellent l’enfance.

lundi 9 février 2009

mercredi 28 janvier, clôture de l'expo de Stéfany VALET

Une main innocente
un coeur généreux
deux belles âmes artistes...


Nous étions réuni pour la préparation de l'Ecofestival : nous en avons profitté pour clôturer l'expo si chouette de Stéfany VALET, en opérant le tirage au sort des trois oeuvres offertes par l'artiste, pour une tombola au profit de l'Atelier Zef.




Aussi incroyable que cela puisse sembler,
la main guitariste de Ben, sollicitée pour l'occase,
nous a sorti d'entre les mains sculptrices de Stéfany
trois gagnants présents ce soir-là!




Quand à l'atelier Zef,
il a vu sa petite caisse s'enrichir de la somme rondelette de 70€...
et de la bonne humeur générale coutumière de ces lieux mais dont on ne se lasse pas.



Merci Stéfany!

Mercredi 28 avril, la tombola de Stéfany VALET




Répondant joyeusement à son voeux émis dès le début du jeu,

le sort a gratifié Gégé du panneau "qui sommes-nous?"



Hugo a reçu des douces mains de Stéfany de quoi s'interroger sur le fait

d'"être un garçon" au coeur de notre société.










Nin nin s'est vu remettre pour le Zéphyrin, le panneau " Je suis une fille".