dimanche 30 novembre 2008

Sylvie, le 28 mai 2008

Dans le vent sombre de l’allée
J’ai ramassé les longs pavots violets
Qui riaient, n’oubliez pas !

Dans le vent sombre de l’allée
Pleure mon cœur affolé
Qui disait, n’oubliez pas ?

Sans titre

Le dictateur peureux se cadenasse à son Etat et c’est pour ça qu’on les aime si peu pas plus que dans la peau d’un âne. Heureusement qu’il nous reste la grosse boulette qui fait rêver à la création du monde. Tellement plus beau et plus ? comme vous ne l’avez jamais vu depuis longtemps. Heureusement elle cause, elle cause la banlieue pour détrôner ce poltron car le noir est sa couleur, et nous sommes prêts à ouvrir le chemin afin de ne pas être des damnés qui déambulent à travers les parcs.

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