Un éclair aveuglant que personne n’a vu
Forcément on avait tellement bu
Et le reste.
Vie de pecheur sans accent(s)
On avait relevé les casiers : homards, crabes et le reste. On les avait déménagés dans le fourgon et ils allaient partir loin : vers Paris et ailleurs. De merveilleux restaurants les avaient achetés pour les offrir à leurs voisines qui étaient venues en tracteur malgré le périphérique et les fumées des multiples pots d’échappement qui finiraient un jour par les rendre malades. J’ai ensuite amené tard à tata le reste de la pêche et la musique qu’elle m’a jouée résonne encore à mes oreilles. Heureusement, le décolleté de sa voisine me redonne le désir d’espérer un plaisir nécéssaire.
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