dimanche 30 novembre 2008

Gégé, le 11 juin 2008

Y’en a raz le bol
De toutes ces gouttes qui dégringolent
Je dis Stop !


Eil

Tout a commencé par une belle journée. Je me suis levée sans réveil, mais avec le soleil. C’était vraiment un matin plein d’éveil malgré la veille où j’avais voulu à tout prix finir les bouteilles. Vous imaginez l’ambiance gueilhe ; en plus dans ces cas-là tout est toujours langue de peilhe et on se fait mal aux oreilles. Alors même si j’avais comme on dit les abeilles, j’ai mangé un peu de salsepareille, plantes pleines de merveille, que m’avait donné Laurence de Bourdeille. Potion sans pareil pour enfin lire Simone Veil and say : qu’est-ce qu’elle envoi, qu’est-ce qu’elle raye.

Petite nouvelle de quatre heure

Citrouille et cinq peut sont dans un bateau. A minuit, le ciel se voile et comme de la tulle les nuages flottent. Quel drôle de phénomène. Je me demande si je ne suis pas tombée dans une embuscade. Je laisse passer la nuit et le lendemain je me réveille et que vois-je ? Un cochon tout habillé de dentelle et de soie, le vent faisant voler ces belles traines, et longtemps plus tard, après bien des idylles éternelles, j’ai du téléphoner au canard boiteux, petit animal merveilleux, qui revenant de ses voyages nous ramenait des nouvelles et voulu encore nous raconter mais il était temps d’arrêter pour aller se coucher.

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