dimanche 30 novembre 2008

Patrici, le 11 juin 2008

Ce soir, les drôles ont bien assuré
La preuve tout le monde rigolait
Sauf ceux qui ne sont pas venus.

Eil

Salut, langue de peilhes, I’ve something to say, enfile tes gueilhes, prends les merveilles et tes bouteilles de salsepareille, branche ton réveil, et demain, s’il y a du soleil nous partons à Bourdeilles se faire rougir les oreilles. Y en aura pas pour les abeilles, et pareil pour Simone Weil. Que viva el rey.

Voyage initiatique

j’ai le caberlot comme une citrouille. A présent j’ai rencontré un tas de fétards et ensemble, on a mis les voiles, direction Tulle. C’étaient de drôles de phénomènes qui faisaient du bruit en vidant les bouteilles. Quelle embuscade. Aujourd’hui, je me fais un sang de cochon en constatant mon mal de tête. Putain, on n’a pas fait dans la dentelle. D’ailleurs ma belle chemise en soie en a fait les frais et prend le vent. Cette soirée était belle pour les rebelles. Je m’en souviendrai longtemps mais j’essaye que idylle avec la déco bouteille ne soit pas éternelle. Merde, je devais téléphoner.
Me voilà maintenant boiteux du cerveau et je ne trouve pas merveilleux de bous annoncer cette nouvelle. « Tu l’auras voulu » aurait pu dire ma mère. Mais pas question d’arrêter.

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