dimanche 11 janvier 2009

Nin nin, le 7 janvier

Une chose est sûre c’est que mes chaussures
N’étaient pas sous le sapin peint
Même si elles y étaient je ne les ai pas vu
Burp !

Je me présente, Guy, rémouleur de coupe-ongle…
Je me présente, Guy, rémouleur de coupe-ongle de mon état. Né à jouy. Rémouleur de coupe-ongle n’est pas un métier si facile que ça. Métier enseigné en Terre-Adélie par un vieil abbé adoubé à l’évêché de trifouilli-les-oies, évêché dédié comme tout le monde le sait à l’archange Isidore, patron des affûteurs. Et c’est à cet endroit que notre vieil abbé a développé la spécialité de rémouleur de coupe-ongle. Métier très délicat vu le nombre de coupe-ongle et surtout de qualité différente. Sacha Guitry qui était très amateur de coupe-ongle utilisa de nombreuses fois les capacités de mon maître pour ses écrits pour lesquels ses ongles devaient être propres à l’infini. Moi, Guy, écœuré et rasé de mon métier antérieur, allaité par ma vieille nourrice dont le vieux moine était épris, ce qui me permit de le rencontrer.
L’affûtage de coupe-ongle est un métier très méticuleux dont les règles ont été émises depuis de longues années.
Et je dédis ce texte à tous les moines qui ont utilisé leurs coupe-ongle déculottés à l’arrière du monastère.

Mes yeux papillotent lorsque la lumière vient dans les menottes des gens d’armes qui ne sont pas aussi carnassiers qu’ils ont l’air, bien qu’ils doivent bien manger des basses côtes, ces gens d’armes, qu’ils doivent couper avec leurs sabres qu’ils ont au clair avant de partir sur leurs delta plane. Qu’ils n’ont pas en forme de carré de bœuf, non non, on dit curry de bœuf qui nous vient dans le bide après être passé dans nos estomacs. Ceci est la procédure de la digestion.
Et l’Allemagne est toujours l’Allemagne.

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