samedi 28 février 2009

Tigui, le 11 février 2009

J’entends Miren qui s’amène
A la bonne heure, vraiment, amen
Toi, c’est la fête du vent !

Je ne remercierai jamais assez le grand Maulne de m’avoir convaincu dès mon plus jeune âge de l’utilité du tire-couette électronique. Il m’a permis très tôt de m’affirmer en tant qu’homme et malgré ma petite taille dans les cours de récré qui pullulaient de filles.
Aujourd’hui j’en ai choisi une, fille, et dans les premiers temps j’en ai beaucoup souffert. A présent au coucher je branche mon tire-couette et peut passer au chaud tout le temps de la nuit en sentant bon la femme quand même.
C’est pour ça monsieur l’inspecteur que j’arpente les cours d’école le manteau large ouvert. Pour que chacun profite des bienfaits d’la présence des filles, à la mesure de mes tire-couettes, que je vends carrément pas cher, sans blague !

Eclat de rire du bide au nez.

Faut pas pousser la larme dans les orties, ça gratte !

Rires à Venise, larmes à Paris.

Zygomatiques élastiques fendent la gueule.

Se tordre devant le poêle et se poiler à tors et à travers.

Tricote-moi les quenottes, déride-moi la cracotte.

C’est marrant, je rigole, mais ne te crois pas drôle.

On s’est boyauté la gousse, exhalaison d’aïl.

Que de rigoles quand tu pisses de rire.

Fou rire au ras du fût.

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